Je ne savais pourquoi mais ce matin, en me réveillant, j'ai eu comme l'impression que cette journée allait être prometteuse. Je ne pouvais l'expliquer, on appelait cela une intuition. En jetant un coup d'œil à mon réveil, je me rendais compte qu'il n'était que huit heure et demie du matin. Peu importe, je n'avais plus sommeil et si cette journée était prometteuse, autant la démarré du bon pied. Je me dégageais des draps et entendit quelqu'un ronchonné. Un petit sourire aux lèvres, je regardais Lux, ma cousine, essayé de ramener toutes les couvertures vers elle. Je ne pu m'empêcher d'en rire et embrassait son front. Cela faisait deux jours que j'avais proposé à ma cousine que, si elle se sentait seule dans son grand appartement, de venir quelque jours chez moi, son petit ami était partit et je voyais bien qu'elle ne savait plus où elle en était, elle m'avait longuement aidé avec Paige, je lui en étais redevable. Je détestais voir ma cousine souffrir a cause des hommes, surtout a cause de son père, mais je ne préférais pas m'en mêler cette fois-ci.

Je descendais les escaliers, encore assoupis, j'allumais la télévision, zappant sur n'importe quelle chaîne, je laissais des vieux dessins animés passer alors que je me préparais mon petit déjeuner. Je décidais de garder quelque croissant pour Lux, elle serait sûrement contente de voir que j'avais pensé à elle, pour une fois. C'est comme un grand enfant que je m'étais assis sur le divan, profitant de regarder Bob l'éponge, vous allez dire que cela était un acte puéril, mais je devais avouer que cela ne me dérangeait pas de regarder des dessins animés de temps en temps, certes, pas tout les jours ne vous y méprenez pas. Au bout d'une bonne heure, je commençais à en avoir assez et préférait faire ma toilette, optant ainsi pour un vieux jean et une chemise noire. C'est deux heures plus tard que ma cousine décidait de se lever, comme d'habitude, elle avait mauvaise mine. J'espérais tellement qu'elle me dise qu'elle daignera enfin sortir de là pour qu'elle recommence une nouvelle vie. Tout comme j'espérai le faire, un jour peut-être. Je décidais de sortir prendre l'air, je prévins ma cousine de mon départ, prit mon appareil photo en passant. J'avais besoin de marcher, de prendre des photos, pour me détendre.

J'étais en train de prendre des photos d'Hollywood Boulevard, lorsque, dans la foule, comme un mirage, j'aperçus une silhouette féminine qui m’était familière. Je clignais des yeux, tout cela était complètement impossible étant donner que Paige était décédée. Je ne pu néanmoins m'empêcher de suivre la jeune femme. Mon mirage s'éloignait à grand pas, je courais, courais encore à travers la foule. Je n'avais plus de souffle mais je m'en fichais, cette apparition divine voulait dire quelque chose, j'étais sûre que ce n'était pas Paige, mais mes jambes s'en fichait et suivait cette belle jeune femme. Au moment le moins attendu, je percutais quelqu'un d'une telle force que je fus propulsé en arrière, mon vieil appareil photo tomba à terre mais trop tard, quelqu'un avait déjà marché dessus, mais je m'en fichais, je continuais à courir. La jeune femme partait dans une plus petite rue. Je redoublais d'effort pour la rattraper

" 'Cause it's true, i'm nothing without you..♥ "

Me voilà arrivé depuis quelques jours à Hollywood. Je n’y étais pas par hasard bien évidement. Je devais tout simplement le retrouvé, le revoir. Ce que j’espérais au plus profond de moi-même c’est qu’il ne m’ait pas oublié et au bout de six mois, soit passé à autre chose ayant une nouvelle copine ou ayant changé radicalement de vie. Je me réveillais donc dans ma chambre d’hôtel dans laquelle je logeais. Il devait être dans les environs de dix heures et comme le soleil faisait déjà son entré, les rayons qui s’échappés des rideaux vinrent me réveillé. Je sortis de mon lit et n’ayant pas vraiment faim, j’allais directement dans la salle de bain me prendre un bon bain. J’y restais pendant au moins trois quarts d’heures histoire de me détendre, même si j’avoue que l’eau chaude avait tendance à me replongeais dans mon sommeil. Une fois ressortis je me séchais tout simplement les cheveux et une fois qu’ils prirent leurs formes ondulés, je passais au maquillage. Une touche de crayon noir tout en y ajoutant de l’eye-liner pour mes yeux puis j’ajoutais un peu de blush sur mes joues. Une fois terminée, je me dirigeais vers la penderie et attrapais la première chose qui me vint sous la main, c'est-à-dire une robe bleue marine. Non pas que je m’habille n’importe comment, mais en venant ici j’ai juste pris les tenues qui me plaisait pour l’occasion de le revoir et chaque jour je portais une différente me disant que cette fois ce serait la bonne, mais jusque ici ca n’avait pas marché.

Une fois prête, je pris mes clés accompagné de mon sac et sortis de ma chambre. Je pris l’ascenseur et une fois à l’extérieur de l’hôtel, je commençais à marcher dans la rue. Je me pris un café au passage que je bus tout en marchant. Quelques minutes plus tard alors que j’arpentais encore les rues, je reçus un coup de fil. C’était ma mère. J’hésitais à répondre, mais après une troisième sonnerie je finis par décrocher. Bien entendu elle me demanda ou est-ce que je me trouvais, et qu’est ce qu’il m’avait pris d’agir ainsi. J’eus un rire jaune tout en m’emportant en lui répondant que je n’avais plus de compte à lui rendre à elle et à mon père après ce qu’il m’avait fait. Je finis par raccrocher en colère. J’envoyais par la suite un message à une amie qui demander de mes nouvelles. Je lui répondis brièvement, tout en empruntant une ruelle. A ce moment là, j’entendis quelqu’un derrière crier, appelant une autre personne, ce qui me fit retourner instinctivement.

Je cru que je rêvais. Il était là et moi je restais planté là comme une potiche. C’était comme si mes pieds étaient cloués au sol et que je ne pouvais plus du tout bouger. Des gens passaient devant nous, mais ca n’empêcher pas que mon regard soit toujours poser sur lui. Je l’avais retrouvé miraculeusement d’ailleurs, mais je l’avais retrouvé c’est tout ce qui importer. A moins que ca ne soit encore mon esprit qui me joue des tours ? Non pas possible, j’avais envie d’y croire. Etant troublé, je lâchais sans faire gaffe mon gobelet de café. Je ne savais plus comment réagir, si je devais lui sauter dans les bras ou bien allé le voir en douceur.. En tout cas me voilà parcourant le chemin vers lui, accélérant petit à petit le pas. Une fois arrivé à sa hauteur, je le contemplais. Il n’avait pas changé d’un trait, c’était toujours le même. Un sourire se dessina sur mon visage, ayant également les yeux pétillant près à échappé quelques larmes. Je me rapprochais un peu plus de lui, ayant mon regard plongé dans ses yeux bleus. Je déposais alors délicatement ma main sur sa joue tout en murmurant « Noah.. » n’ayant pas la force de parler plus fort avec se trop pleins d’émotions qui venaient de surgir en moi.

Je ne m'attendais pas du tout à ce que cette intuition, à mon réveil, fut vraie. Alors que cette journée avait débuté de la façon la plus normale qu'il soit, la suite des événements n'allait pas être de tout repos. Alors que je me promenais sagement sur Hollywood Boulevard, prenant quelque cliché de la ville, je vis cette silhouette. Non ce n'était pas n'importe quelle silhouette, elle m'était si familière, je ne pu m'empêcher de la suivre. Ce n'était pas mon genre de suivre les jolies demoiselles, surtout que je ne savais pas pourquoi je lui emboitais le pas, je le faisais, c'est tout. J'avais peur qu'elle ne me prenne pour un pervers, un sadique qui la suivait pour savoir où elle vivait et revenir la voir mais après tout, elle ne m'avait peut-être pas vu.

Elle marchait tellement vite que j'avais dut presque me mettre à courir à travers la foule, on se serait crut dans un film, il ne manquait plus qu'une petite chanson en arrière plan et cela aurait put être une fin d'un film romantique où le héros essayait de rattraper celle qu'il aimait à travers toute la foule. Mais je ne savais même pas qui était cette fille bon sang, pourquoi courrais-je ainsi comme un abruti à contre sens de la foule ? J'étais à bout de souffle, quelqu'un m'avait bousculé, d'une telle force que j'en avais lâché mon appareil, celui-ci fut complètement piétiner mais je ne pris même pas le temps de le ramasser. Je repris ma course, parvenant à m'échapper de la foule, je tournais la tête partout, elle avait disparut, je poussais un juron mais alors je la vis, quelques mètres plus loin, tourner dans une ruelle où il y avait moins de passant. Je m'y pressais, prenant le même chemin que la jeune femme. Arrivé dans la ruelle, je la voyais déjà s'éloignée, un "attend" sortit de ma bouche. C'est alors qu'elle se retournait.

Je fus alors cloué sur place, bouche béante. Étais-ce moi qui délirais ou c'était bien Paige que je voyais, devant moi, vivante. Non je devais sûrement rêver, comme toujours lorsqu'elle me manquait trop, je me frottais les yeux et les rouvris, non, elle était toujours là. Je n'arrivais pas à bouger, mon cœur martelait contre ma poitrine. Je ne comprenais plus rien, pourquoi Paige était-elle devant moi alors qu'elle était censée être décédé à cause d'un accident de voiture. Elle aussi, n'avait pas l'air de s'en remettre, elle avait lâché son gobelet et une flaque de café chaud s'étalait sur le bitume. Je la vis s'approcher de moi, non, je rêvais, c'était exactement sa, je ne m'étais pas encore réveiller. Je n'eus pas le temps de réagir lorsqu'elle ne se trouvait qu'à quelque centimètre de moi, je pouvais sentir son parfait et sentait son souffle chaud, le regard plongé dans le sien, je n'arrivais pas à parler, peut-être le choc. Lorsqu'elle posa sa main sur ma joue et murmurais mon prénom, une décharge électrique me parcourait de tout mon être, alors je ne rêvais pas, ou si s'était un rêve, j'aurais voulus ne jamais me réveiller.

P...Paige ?

Avais-je réussis à balbutier. Instinctivement, je passais mes bras autour de ses hanches et la serrait contre moi. Si s'était un rêve, autant en profiter, mais ces sentiments étaient tellement... réels. Je me posais néanmoins la question. Si elle était censée être décédée alors pourquoi se trouvait-elle ici ? Un tas de questions trottaient dans ma tête. Mais je réussis à lui souffler à l'oreille.

Je marchais tranquillement dans la rue quand je m’arrêtais lorsqu’on m’interpela. Le voyant fut comme un choque, remarquant qu’il n’avait pas tellement changé depuis tout ce temps. Mon café se renversa, n’y croyant toujours pas. Je comptais le retrouver, mais à la place ce fut lui. Des images et des souvenirs défilés dans ma tête et même si au départ mes pieds ne voulaient pas décollés du sol, je finis par faire de petits pas qui s’agrandirent à force pour me retrouver face à Noah. Je le regardais en souriant, et lui me regarder comme s’il n’en croyait pas ses yeux. Je reconnais qu’il ne devait plus rien y comprendre puisqu’il devait normalement pensé que je reposer à présent six pieds sous terre. Mais ce n’est pas le cas, je suis bien vivante et lui aussi d’ailleurs. Je déposais alors délicatement ma main sur son visage, le caressant tout en passant sur le trait de sa fossette que j’aimais tant et qui m’avait manqué. Il prononça à son tour mon prénom ce qui me fit dessiner un sourire sur mon visage. Au moins il ne m’avait pas oublié, c’était déjà ca. Et puis ca me prouver que je ne divaguer pas et qu’il était bien là, et que je ne l’avais pas confondu avec une autre personne. Je me blottissais dans ses bras lorsqu’il me sera dans son étreinte. Je posais ma tête contre son épaule tout en fermant les paupières ayant les larmes aux yeux du aux émotions de nos retrouvailles.

« Est-ce un rêve ? Car si ce n'en est pas un, je ne comprend plus rien... »

J’entendis sa douce voix prononcé cette phrase, ce qui me fit ré ouvrir les yeux. Je relevais alors légèrement la tête pour plongée à nouveaux dans ses yeux bleus. Que devais-je lui répondre exactement ? Il y avait de quoi ne plus rien y comprendre. Après tout ces mensonges et ces trahisons je me demandais encore comment est-ce que j’avais fait pour avoir réussi à le retrouver.

_Ce n’est pourtant pas un rêve, on est bien là toi et moi..

Je vis l’un de ses sourcils haussé, ne comprenant surement pas encore ce qu’il s’était passé et pourquoi j’étais encore là. Je sentais son souffle chaud, étant encore à quelques centimètres de lui. Je passais doucement mes deux bras autour de son cou et après l’avoir regardé un bref moment, je fermais mes paupières tout en déposant délicatement mes lèvres contre les siennes.

_Tu m’as tellement manqués, tu ne sais pas à quel point..

Avais-je glissé tout en prolongeant avec tendresse le baiser. Je voulais arrêter le temps et profiter de ce moment là avec lui, de peur qu’on nous sépare une nouvelle fois. Je ne voulais plus le perdre pour une quelconque raison.

Lorsque j'étais entré dans cette ruelle, à bout de souffle par ma course, jamais au grand jamais je ne me serais attendu à la voir. Je n'aurais jamais imaginé basculer dans le rêve, ce rêve que je faisais sans cesse qui me faisait me réveiller en sursaut, ces rêves où elle était là, encore vivante, avec moi. Mais ce rêve là ne ressemblait pas aux autres, il semblait réel. J'étais incapable de bouger, le souffle court, le cœur menaçant de s'arrêter tellement celui-ci battait. Les souvenirs avaient alors refais surface, en une fraction de seconde. Elle était là, à quelque mètres de moi alors qu'elle devait se retrouver à reposer en paix dans un des cimetières de New York. Mais elle était là, devant moi, dans une ruelle de Los Angeles comme si c'était la chose la plus normale qu'il soit, comme si cet accident ne s'était jamais produit.

Je ne comprenais plus, je ne savais même plus si je rêvais ou si c'était une hallucination. Elle se rapprochait de moi, je n'entendais même plus le cliquetis de ses talons sur le sol, je ne voyais qu'elle. Alors que je restais planté là comme un idiot, elle murmura mon prénom, ce qui eut le don de me ramener à la raison. Je bredouillais quelques mots, je n'étais pas très doué avec les surprise, j'étais choqué, horrifié, subjugué. Je profitais alors de ses traits qui n'avaient pas changé d'un pouce, un sourire au coin des lèvres. Je la pris alors dans mes bras, sentant la chaleur de son corps, commençant à douter, me demandant si c'était alors la réalité. Je lui soufflais que si ce n'était pas un rêve, alors je ne comprenais pas.

Je pris son visage entre mes mains, plongeant mon regard dans le sien, au bord des larmes. Etais-ce possible que la femme que j'ai tant aimer soit réellement en vie ? Etais-ce possible que je ne rêvais pas ? Celle-ci me disait que ce n'était pas un rêve, que nous étions là, tout les deux, ensemble. Alors je sentis ses lèvres se poser contre les miennes, je fus pris d'une décharge électrique qui me prouvait que ce n'était pas un rêve, que tout cela était bien réel. Je lui rendais son baiser de tout mon amour, l'enlaçant, passant une main dans ses cheveux. Toutes ces choses que je n'avais pu faire durant six mois, six mois où je l'ai crut morte.

Toi aussi tu m'as tellement manqué... Mais je ne comprends toujours pas, je t'ai vue te faire renverser par cette voiture ensuite je t'ai attendu à l'hôpital et cette infirmière m'a dit qu'ils n'avaient rien pu faire. Comment se fait-il que tu sois là... vivante.

Les mots sortaient avec une telle rapidité que cela me surprit, traduisant mon incompréhension. J'étais perdu mais une chose était sûr, Paige était là, avec moi et je l'aimais toujours autant, même plus qu'avant.

J’étais à présent face à lui, et j’aurais voulut en quelque sorte que le temps s’arrête. Il m’avait manqué a un tel point que je ne savais pas ce que je pourrais bien faire de ma vie s’il n’était pas à mes côtés. Certains penseront que cela peut paraître idiot, mais pourtant c’était la vérité. Lorsque je le pensais mort, je n’avais plus du tout goût à la vie et je ne me nourrissais plus, je ne parlais à personne, un vrai légume. Enfin je n’étais plus du tout moi-même. Il y quatre ans de cela ca n’aurait pas du tout était le cas, mais lorsqu’il était entrée dans ma vie, je ne voulais plus qu’il en sorte. J’avais les larmes aux yeux, heureuse de le retrouvé après six mois d’absences. Je me blottissais contre lui, de peur qu’il s’échappe puis déposa quelques temps après mes lèvres contre les siennes. Le fait qu’il ne recule pas en s’y opposant était plutôt bon signe, mais le reste était à voir. Je ré ouvris les yeux, et le regardais tout en affichant un sourire sur mes lèvres.

« Toi aussi tu m'as tellement manqué... Mais je ne comprends toujours pas, je t'ai vue te faire renverser par cette voiture ensuite je t'ai attendu à l'hôpital et cette infirmière m'a dit qu'ils n'avaient rien pu faire. Comment se fait-il que tu sois là... vivante. »

Voilà la raison qu’ils leurs avaient donné. En même temps, c’était assez simple pour eux de juste prétendre que j’étais morte après mon accident, c’est ce qu’il semblait le plus logique. Je veux bien que dans tout ca, mon père l’ait fait pour me protéger de toutes les menaces qui m’entouré à cause de son poste, mais je n’ai jamais compris pourquoi ils avaient dit ca à Noah. Je savais que mes parents ne le portaient pas dans leurs cœurs, même voir qu’ils ne l’aimaient pas du tout. Mais de là à lui dire que j’étais morte comme au reste du monde, ca c’était de trop. A présent je ne veux même plus les voir, leurs parlés. Ce qui était difficile à présent, c’était d’annoncé à Noah la vérité.. Je soupirais légèrement, et reposa mon regard sur lui.

_ On t’as mentis Noah..Enfin on nous a mentit.. Mes parents m’ont dit que tu étais mort et que tu n’avais pas survécu à l’accident parce que la voiture t’avais percuter juste après moi.. J’ai découvert tout leurs mensonges il y a quelques temps, et c’est pour ca que je suis là maintenant. Pour te retrouvé..

J’avais les larmes aux yeux rien qu’à pensé encore à tout ce qu’il s’était passé. Je glissais ma main dans ses cheveux, délicatement, et reposa mon front contre le sien.

_Je te demande pardon pour tout ce qu’il s’est passé.. Je ne veux plus être séparé de toi..

J’étais plongé dans son regard, et les larmes coulés. Tout les gens qui passé à côté de nous, regardaient ce qu’il se passé mais je n’en avais rien à faire. Il n’y avait que lui qui comptait pour le moment.