L'alerte au cyclone n'avait toujours pas été levée et je commençais à tourner en rond dans cette école. Disons que j'y avais passé deux ans et cela me faisait remonter les souvenirs, c'était incroyable à quel point je devenais nostalgique, s'en était même minable ! Cela ressemblait plus à un rassemblement d'anciens élèves mais bon, c'était marrant de voir tout le monde ensemble et tout les enfants qui couraient et hurlaient partout dans le gymnase. J'avais dis bonjour à quelques amis, discuté avec mais sans plus, disons que je vagabondais un peu partout, certaines personnes s'étaient improvisé une fête dans la bibliothèque alors que d'autres lisaient des livres et même certains amoureux ne se cachaient pas pour se faire des mamours en publique, chaque fois que je voyais cela, je faisais une grimace, ne pouvaient-ils pas faire leurs étalages d'amour ailleurs ? Alors que j'étais entrain de me laver les mains dans les toilettes des filles, j'entendais des bruits étranges venant d'une des cabines. Des bruits de baiser, des soupires, j'allais partir lorsque j'entendis un "aller met la dans ta bouche" je me mordais les lèvres pour ne pas éclater de rire, me sentant très vite gêner pour les deux personnes qui se cachaient pour avoir de l'intimité, mais disons qu'ils n'étaient pas très discret. Je sortais des toilettes sur la pointe des pieds, prête à exploser de rire lorsque j'arrivais dans les couloirs, je relâchais, riant aux éclats, ne tenant plus debout, je me cassais la figure contre le mur. J'étais encore sous le choc en regagnant le gymnase où il y avait encore plus de monde. Je finis par foncer malgré moi dans Sebastian, j'émis un petit "oh" surpris et manquait d'inventer une excuse pour pouvoir mieux le fuir mais celui-ci m'entraînait dans un coin tranquille. Cela faisais plusieurs semaines que j'essayais tant bien que mal d'éviter mon meilleur ami, parce que je voulais me résonner, jamais il ne se rendrait compte que j'étais amoureuse de lui, il serait toujours amoureux de Paige et j'en souffrirait toujours, il fallait que je rencontre quelqu'un d'autre, voilà le discourt que je me disais toujours dans ma tête, mais chaque fois que je le voyais, mes résolutions tombaient toujours à l'eau. Je le suivait néanmoins, nous nous étions installer dans un renfoncement du gymnase, là où ils déposaient tout les tapis, je m'asseyait sur l'un d'eux, nous étions un peu cacher par les piles de tatamis mais on pouvait voir toute la salle, mais le seul que je voyais, c'était Sebastian. Je l'invitais à s'assoir à côté de moi, ce qu'il fit et je me collais contre lui, posant ma tête contre son épaule. C'est alors que je remarquais qu'il avait l'air préoccuper, il regardait au loin, je suivais son regard et tombait sur Paige et Noah entrain de s'embrasser. Je soupirais et lui murmurais :

"T'as besoin du docteur Cooperstein pour parler ?"

Il ne m'avait pas emmenée ici, dans un coin tranquille juste pour me voir, j'aurais voulut qu'il m'emmène ici pour faire la chose dont je rêvais toujours, me dire qu'il était amoureux de moi et on s'embrasserait et on oublierait tout le monde autour. Mais je ne devais pas prendre mes rêves pour des réalités, mais à cette pensée, mes joues prirent un teint rosé et mon coeur battais à tout rompre.

L'alerte à la tornade avait été annoncé depuis quelque temps, on c'était donc tous réfugier à l'université, ce fameux endroit dans lequel j'avais passé plusieurs années a étudier .
Je m'étais mis à re-visiter ces lieux, me rappelant de toutes les bêtises que j'avais pu faire avec Juliette, ou les moments passer avec Paige et elle , ou même les disputes infernal que j'avais eu avec Noah, ou les pseudo disputes avec Rachel , ou même les moments de rigolades avec Tracy, enfin chaque endroit, chaque pièce, chaque coin avait une anecdote. Alors à chaque minutes de ma re-visite de cet endroit je me m'étais à sourire bêtement , parfois éclater de rire ou alors à m'énerver lorsque c'était un moment d'engueulade avec Noah .
C'est fou comme je ne peux pas supporter ce gars, pourtant au départ il n'avait rien fait de spéciale, il aurait pu juste être le genre de gars que je n'apprécie pas forcément mais pas au point d'avoir des envie de meurtre, mais non il a fallu qu'il se mette avec Paige, la fille que j'aime et le pire , c'est qu'elle aussi est tomber sous son charme ...
Enfin bref , il fallait que je me fasse à cet idée de ne pas pouvoir récupéré Paige mais j'avais beaucoup de mal .

Alors que j'étais perdu dans mes pensées, je me senti me faire bousculer, avant de ne dire quoi que se soit je regardait le fautif, ou plutôt la fautive, c'était Juliet , un petit rire était sortit alors de ma bouche .

>>
Et bien , on ne regarde pas où on va ?

Je rigola à nouveau et la traina dans un coin ou on pourrais être tranquille tout les deux , j'aimais beaucoup être avec Juliet, elle es ma meilleure amie et surement celle qui me connais le mieux.
D'où on était placé j'avais une vue sur tout le monde, certains paniquaient par l'alerte d'autre s'amusait , mais moi je regardait surtout Paige et Noah qui jouait au petit couple parfait. J'étais là à les regarder en m'imaginant frapper Noah ou alors qu'il se fasse engloutir par la tornade, mais voilà que ma meilleure amie, la tête sur mon épaule , pris la parole, je lui fit un sourire

>>Oh excuse moi, tu veux qu'on parle de quoi ?

Je la regardais en souriant, elle avait toujours été si gentille avec moi, je crois, enfin non j'en suis sure, il es impossible d'avoir meilleure amie qu'elle . Elle m'a même suivi lorsque j'ai quitter Hollywood, qui l'aurais fait a part elle ?
Elle es sans doute l'une des trois personne qui compte le plus à mes yeux

♫ Lee Dewyze & Crystal Bowersox - Falling Slowly ♫

C'était dingue à quel point on pouvait regretté nos années à l'université, même si cela n'avait qu'un an, j'avais l'impression que cela faisait des années. Des années que j'avais retrouvé Paige devant les casiers au début de mon année, que j'avais aussi dut supporter mon ex petit ami, Oackley, dans mes cours d'art. Chaque endroit me rappelait quelque chose. Je me souvenais même cette place en court de biologie où je dormais très souvent et que mademoiselle Paige se donnait un malin plaisir à me réveiller. Et maintenant, tout était fini, plus d'école mais on était obligé d'y rester tant que l'alerte ne serait pas levée et j'en étais de plus en plus nostalgique, il fallait que je trouve quelqu'un avec qui parler ou je sentais que j'allais exploser. S'ajouter à cela que depuis quelque semaines, j'avais profité de ma place dans un film pour être très peu souvent à la maison et donc ne pas voir Sebastian, mais maintenant que j'avais finis et que nous étions tout les deux coincé ici, il fallait que je réussisse à l'évité car je ne pourrais pas garder mes sentiments aussi longtemps. Lorsque j'étais revenue dans le gymnase, je lui fonçais malencontreusement dessus. J'émis un petit "Oh" surpris, celui-ci me fit remarquer que je ne regardais pas où j'allais, je me contentais de sourire, prête à inventer une excuse pour pouvoir partir et le voir le moins possible mais celui-ci m'invitais à le suivre et nous avions trouvé un coin tranquille. C'était l'endroit du gymnase où l'on rangeait tout les matelas dans un renfoncement où l'on pouvait voir toute la salle. Je m'installais, baissant les bras contre le fait de le fuir, de toute façon, je ne pourrais pas éternellement faire ainsi, si seulement c'était plus facile. Mais au bout de quelque minute, Sebastian restait silencieux, il regardait au loin, en suivant son regard, je tombais sur Paige et Noah, je soupirais. Je pense que s'il avait eu un fusil à la place des yeux, Noah serait déjà mort. Je ne comprenais même pas leur haine l'un envers l'autre, c'est vrai quoi, je suis certaine que si ils mettaient tout les désaccords de côté, ils pourraient peut-être bien s'entendre, ils avaient un peu le même caractère. Néanmoins, je posais ma tête sur son épaule et l'enlaçait en signe de réconfort, et lui demandait s'il voulait en parler. Mais celui-ci mit un certain temps à répondre, je soupirais avant de dire.

Tu le sais bien, tu ne vas pas rester éternellement ainsi Sebastian, à attendre une fille toute ta vie alors qu'elle à trouver quelqu'un d'autre. Je ne veux en rien te blesser mais sa me fait tellement mal de te voir comme sa, à te déchirer. Tu mérites tellement mieux.

J'aurais voulut ajouter "je connais une personne qui prendrait soin de toi et t'aimerais comme il le faut" mais je me retins. Me contentant de lui faire un petit sourire. Si seulement il savait, je l'aurais sûrement embrassé pour le réconforter, chose que je me retenais toujours de faire. Mon cœur battait la chamade, je sentais le rouge me monter aux joues. Faire toujours semblant, faire toujours le rôle de la meilleure amie et faire comme si je n'avais pas de sentiments pour lui, mais voilà, ce n'était pas le cas. J'étais tombé amoureuse de Sebastian depuis l'âge de huit ans, depuis qu'il m'avait offert une bague en forme de bonbon et qu'il m'avait défendu auprès des autres filles qui se moquaient de moi. Mais il avait toujours été à Paige et en tant que meilleure amie de ces deux là, je ne me voyais pas en droit de toucher à Sebastian, et de toute façon, il était trop aveugle pour se rendre compte des sentiments que j'éprouvais pour lui. Il était trop homnibulé par récupéré Paige, c'était comme appeler la pluie en plein milieu du désert : impossible.

>>My Life would suck Without you

J'étais là , posé sur le sol du Gymnase au côté de ma meilleure amie, et pourtant la joie n'était pas vraiment au rendez-vous, cela aurait pu être dû à l'alerte au cyclone, mais en faite, sa je m'en fichait un peu, enfin, pas tant que sa puisque sa obligeaient Paige et Noah à rester coller l'un à l'autre .
Et oui c'est sa la véritable raison de ma nostalgie momentanée, d'où j'étais je pouvais voir tout le monde sans qu'on me voyais spécialement et là , les seuls personnes que je voyais réellement étaient cette fille avec qui je suis sortit pendant tellement longtemps et que j'ai toujours aimé, et ce gars, son nouveau copain que je ne peux pas supporter . A les voir tous les deux roucouler je n'avais qu'une envie c'était de vomir, ou pleurer comme une fille, je pourrais tout aussi bien réagir en homme et le frapper, mais sa ne plait ni à Paige ni à Juliet qui semble beaucoup l'apprécié.
En fait en y réfléchissant, je suis sans doute l'une des seuls personnes à le détester, c'est vrai , il a plein d'ami, les filles à ses pieds et surtout il à le plus important, il à l'amour de Paige, heureusement pour moi que l'amitié que Juliet lui porte n'est pas aussi forte que l'amitié que l'on à tous les deux car j'aurais le pré-sentiment de ne rien valoir .

Juliet avait remarqué qui je fixais et le mal que sa me faisait, en même temps rien de bien compliqué, je l'ai fixé depuis plusieurs minutes, ne prononçant plus aucun mot et puis personne ne me connais aussi bien que ma meilleure amie . Elle m'avait enlacé et demander si je voulais en parler, tout pour me réconforté, elle était tellement mignonne, mais malheureusement personne ne pouvais vraiment rien faire pour m'aider, j'eus alors un léger soupir et lui répondit d'une voix faible :

>> Non c'est bon merci

Elle repris la parole pour me dire que sa ne servait à rien que j'attendent désespérément une fille qui ne viendrais pas et que je méritais mieux . Elle ajouta que sa lui faisait mal de me voir me déchiré, et c'est vrai que chaque fois que je passe du temps à parler de Paige, la regarder, regarder d'ancienne photo de nous ou autre, je le vois dans son visage qu'elle n'est pas heureuse . Je la serra plus fort dans mes bras avant de lui répondre

>> Je sais Juliet, je sais, mais pourtant je ne peux pas m'en empêcher, et même si je sais qu'en réalité il n'y a plus d'espoir ...

Je soupira un instant, je ne voulais pas trop embêter Juliet avec ca, dèjà que l'ambiance n'était pas terrible alors je n'allais pas en rajouter avec mes petits problème de cœur

>>Je te jure heureusement que tu es là, t'es vraiment la meilleure

Je lui fis un grand sourire et l'embrassa fortement sur la joue, je me rapprocha encore plus près d'elle que l'on ne l'étais déjà et je repris la parole

>> Tu sais quoi ? On va arrêter de parler de sa Ok ? Parle moi un peu de ta série alors comment sa c'est passé ?

Je voulais la voire heureuse, la voir sourire , la voir s'amuser ... Rayonnante.

♫ Joe McElderry - The Climb ♫

Moi qui avait tant essayer d'éviter Sebastian, qui m'était promise que nous ne nous retrouverions pas seul, c'était raté. Et je me haïssais d'être heureuse d'avoir un peu de temps avec lui. Je n'étais peut-être pas assez forte pour lui résister ou peut-être n'en avais-je pas envie, quel que soit la réponse, il m'était impossible de l'éviter ni quoi que ce soit, c'était comme s'il était ancré dans ma peau. D'autant plus que je le voyais malheureux et c'était quelque chose qui avait le don de me briser le cœur, c'est pour cela que je l'avais enlacer, comme pour le réconforter, le voir peut-être sourire ou arrêter de faire cette tête de déterrer. Je lui demandais s'il voulait en parler, mais celui-ci poussa un soupir et m'avais répondu d'un ton las. Au départ, j'ai cru que je l'embêtais avec mes questions, j'étais prête à partir pour le laisser tranquille et noyer son chagrin mais je me résignais en lui faisant mon discours de la fille protectrice. J'essayais de lui faire comprendre que Paige était passé à autre chose et qu'il devrait essayer de faire pareil et sa réponse m'attristais encore plus. Dieu que je détestais le voir ainsi, j'avais l'impression que ses émotions venaient en moi et sa me faisais aussi mal que lui. Je le bousculais gentiment de l'épaule, un sourire aux coins des lèvres.

Aller monsieur déprimer de la vie. Je suis là moi, tu vas t'en sortir.

J'aurais pu lui dire tout autre chose comme "tu sais, je suis là et je t'aime, plus que tu le sais et bien plus que n'importe qui d'autre." mais ces mots restaient en travers de ma gorge, refusant de sortir. Il me répondait que j'étais vraiment la meilleure car j'étais toujours là. Je lui répondit de mon plus beau sourire avec un petit "Je sais" et je me disais que je n'étais que l'amie, rien d'autre pour lui. Mais comment ne pouvait-il pas voir que j'étais folle de lui ? Avait-il de la merde dans les yeux ou quoi ? Mais il fit disparaitre toutes mes pensées en me faisant un énorme bisous sur la joue, je ne pouvais m'empêcher de sourire et celui-ci se rapprochais encore plus, je me penchais vers lui pour l'embrasser sur la joue mais je l'avais vu un peu trop loin et dérapais malencontreusement sur la bord de ses lèvres. Je me retirais aussitôt, frôlant la crise cardiaque. Nos regards s'étaient croisé, mes joues étaient aussi rouges que des tomates et mes mains tremblaient, mais je me contentais de lui faire un câlin, posant ma tête dans son cou et restant un instant comme sa avant de le relâcher. Puis il ajoutais qu'on devait arrêter de parler de sa et me demandait de lui parler du tournage du film, je ne pu m'empêcher de sourire.

Mon dieu c'était génial ! Sa avait beau être un film à tout petit budget, c'était une vraie expérience. C'est tellement différent de jouer devant une caméra que devant un publique, on ne sait pas ce que les gens devant leur télévisions vont penser du film. Enfin bref, l'équipe étaient toujours à notre écoute, au début sa à été dur avec mon partenaire parce qu'il m'intimidais mais bon, j'ai réussit à me détendre. Le mieux, c'est qu'il était super mignon ! Dommage qu'il ai été marié. Le producteur était un sacré numéro, tout les matins il nous faisait faire du footing autour des caravanes et lui il nous commandait du haut de son mégaphone.

Je ne pouvais m'empêcher de sourire en lui racontant tout cela, j'avais pleins de petites anecdotes comme sa mais disons que je parlais avec un débit si rapide qui j'avais peur qu'il ne comprenne pas. Et j'ajoutais.

Le pire, c'était d'embrasser mon partenaire devant les caméra, en sachant que sa femme était juste derrière avec l'équipe. Imagine la tête qu'elle faisait.

>>Life Without you is not life, is the hell

Il aurait pu se passer n'importe quoi , un meurtre , le cyclone aurait pu dévaster la pièce que je ne m'en serais même pas rendu compte, dans mes pensées, fixant celle que j'aimais depuis toujours et celui que je détestais le plus au monde, c'est fou comme je pouvais me faire du mal en les regardant roucouler et je continuais sans cesse à le faire comme-ci sa me plaisait , comme si j'aimais souffrir, ou alors je m'infligeait sa pour que je puisse enfin comprendre que mon tour est fini, que je n'aurais plus de chance avec elle. Et pourtant Juliet ne cesser pas de m'avertir, me prévenir et me dire que sa ne servais à rien de l'attendre, qu'elle ne reviendra pas, et elle sais de quoi elle parle puisque c'est la meilleure amie de Paige depuis toujours , et une amie de Noah, ce qui ne me plait pas beaucoup d'ailleurs, car souvent il se crois permis de faire des réflexions, comme si il la connaissais mieux que moi alors que c'est absurde, je pense être la personne qui la connais mieux, bon peut-être que je suis en concurrence avec Paige, mais sa revenais au même .

Une fois de plus, Juliet me conseilla de renoncer à Paige, que c'était perdu d'avance, je le savais sa, je connaissais la chanson par cœur et pourtant je n'y arrivais pas, c'était sans doute plus facile à dire qu'à faire, c'est vrai que pour Juliet c'était facile à dire, elle n'a jamais été confronter à cette situation . Elle esseya de me faire rire , en me rappelant qu'il ne fallait pas déprimé, qu'elle était là elle, et heureusement qu'elle était là , je ne me voie vraiment pas vivre sans elle , elle est mon réconfort , mon petit rayon de soleil.
Je m'étais alors rapproché d'elle, et je la vis approché son visage du mien, sans doute pour un baiser qui devais se situer sur la joue mais qui avait légèrement dérapé sur le coin de la lèvre , et là sans rien n'y comprendre , mon cœur se mit à battre à une allure folle.
Je la vis se mettre à rougir telle une tomate bien mure, puis cala sa tête sur mon épaule, j'eu un petit sourire et caressa ses cheveux.

Elle me répondit à ma question qui concernait son film, et sa me fit plaisir de l'entendre en parler comme sa, elle en était passionné et avait d'après ce qu'elle me disais passé de réel bons moment avec toute l'équipe et plus en particulier avec son partenaire qui apparemment l'avais fait craqué , mais il avait une femme, dommage pour elle, j'aimerais tellement qu'elle trouve le bonheur, l'homme qui pourra la rendre heureuse sans la faire souffrir, l'homme qui la gardera auprès d'elle lorsqu'elle en aura besoin, l'homme qui pourra à la fois jouer le rôle de petit copain et de meilleure ami qui sais l'écouter et la conseillé ...
Avec un grand sourire elle ajouta le fait que son partenaire l'embrassait pour le film et ceux devant sa femme et c'est vrai qu'elle devait faire une tête bizarre, En même temps qui prend plaisir à voir la personne qu'on aime en embrassé une autre ? Ou bien un autre ...
Je lui répondit avec un sourire sincère :

>>C'est super que tu te sois amusé, je suis vraiment content pour toi, que tu es eu ce rôle , que t'es passé un bon moment, et que tu as beaucoup apprécié ton partenaire, même si il à une femme

J'eu un petit rire, et posa ma tête par dessus la sienne, j'étais bien là, en faite j'étais bien avec Juliet, à ce moment là je ne pensais plus à rien d'autre qu'à elle et moi , enfin jusqu'à ce que j'entendent une personne un peu plus loin qui pleurais dans les bras de son amie puisqu'elle avait peur du cyclone . D'une voix très légere je demanda à ma meilleure amie :

>>Tu as peur ? Du Cyclone , de ce qui peut arrivé ?

Pourquoi étais-ce si dur de contenir ses émotions ? J'aurais voulut être capable de contenir en moi tout mes sentiments refoulés mais dès que je croisais le regard de Sebastian, toutes mes barrières tombaient. Nous avions beau être au milieu de tout un tas de personnes, j'avais l'impression d'être seule lorsque j'étais à ses côtés. Que tout ce qui était autour n’était que des détails, je ne voyais que lui, comme si nous étions dans notre petite bulle. Mais j'étais certaine que cette sensation n'était pas la même pour moi que pour lui, il me considérait comme son amie, rien de plus. Paige avait toujours eut de la chance avec les hommes, ils tombaient tous sous son charme alors que j'étais là, à espéré que ces garçons me remarquent. En vain, mais il fallait les comprendre, ma meilleure amie était l'une des plus belles femmes que je n'avais jamais vu, elle était aussi riche de l'extérieur qu'à l'intérieur, comment ne pas l'aimer ? Comparer à elle, je devais bien comprendre pourquoi Sebastian continuait de s'accrocher à elle. Je n'étais que l'amie, celle qui était toujours là pour eux, celle qui s'arrangeait pour qu'ils soient heureux. Je devais avouer qu'à part eux, dans mon enfance, je n'avais pas eut vraiment de vie sociale, trop occupée par des cours de chant, danse, théâtre et les auditions, je n'avais jamais eu le temps à autre chose. Enfin, pour le faire sourire, je le bousculais gentiment en lui disant que j'étais là pour lui. J'aurais voulut le voir rire et plaisanter comme à son habitude mais il fallait croire qu'il était d'une humeur de chien aujourd'hui. Alors je m'étais rapprochée de lui, souhaitant l'embrasser sur la joue mais sans le vouloir, je l'avais embrassé sur le coin des lèvres, mon cœur s'était mis alors à tambouriner contre ma poitrine, essayant de cacher ma gêne, je fourrais ma tête dans son cou, honteuse et espérant qu'il ne remarquerait rien, je lui caressais gentiment le dos. Collée contre lui, je sentais son cœur battre lui aussi étais-ce moi ou il battait aussi vite que le mien ? Je me détachais alors de lui, il me demandait de lui raconter le tournage du film. Alors, ma bonne humeur revint tout de suite, lui parlant de l'équipe et du fameux mec marié qui m'avait bien fait craquer ainsi que de mon producteur. Le détail du partenaire marié le fit bien rire, cela me rassurait de l'entendre enfin rire et je me mis à sourire, heureuse qu'il soit heureux. C'était comme de la télépathie, lorsqu'il n'allait pas bien, je n'allais pas bien et si dans l'autre sens il était heureux, dans ce cas, j'étais heureuse. Je lui caressais tendrement le bras, profitant de ce moment où je me trouvais proche de lui et alors, il me demandait si j'avais peur de ce qu'il pourrait arriver avec le cyclone. Je baissais les yeux et lui pris la main et lui répondit doucement.

Disons que j'avais peur, avant, mais maintenant tu es là et je suis rassurée. C'est comme si tu avais le don de m'apaiser.

Alors, en voyant sa tête de déterré, je ne pu m'empêcher d'éclater de rire et de le chatouiller. Je le sentais se débattre se qui me fit encore plus rire. C'est alors que j'essayais de me relever mais le tapis était tellement mou que je me cassais la figure sur lui. C'est alors que tout fut brouillé dans ma tête, je ne savais plus ce que je faisais. Je lui caressais tendrement le visage alors que je me penchais pour déposer un baiser sur ses lèvres, alors je me relevais d'un bond en poussant un jurons, prête à m'excuser. Bon sang pourquoi je perdais le contrôle ?

>>She is the best, she really makes me smile

C'est fou l'effet que Juliet pouvait me faire, sans arrière pensées évidemment, mais dans un moment comme celui-ci ou j'étais désespérer par Juliet et Noah elle arrivait à me faire sourire, elle me faisait me sentir mieux juste en la regardant , juste en l'écoutant, et ça c'est la seule qui y arrive .
J'étais vraiment proche d'elle, physiquement, nous avions rarement été aussi proche, je sentais son coeur battre, il étais rapide, tout aussi rapide que le mien qui battais pour une raison qui m'étais inconnu.

Elle se sépara ensuite pour me parler de son film, elle le fit avec une telle passion et un tel plaisir que sa me rendais heureux, heureux qu'elle se soit épanoui dans son métier, heureux qu'elle réalise son rêve, qu'elle fasse ce qu'elle aime, qu'elle soit heureuse quoi .
Après qu'elle m'ait tout raconter, je lui demanda si elle avait peur du Cyclone, de ce qui pourrais arrivé. Je voulais juste savoir ce qu'elle ressentais de cet évènement , c'est vrai elle a beau affiché un jolie sourire elle reste une jeune fille fragile et si elle était inquiète je voulais être là pour elle .
Elle me répondit qu'au départ oui elle avait peur mais plus depuis que j'étais là comme si je l'apaisais, sa me faisait plaisir de l'entendre parler de sa, j'allais d'ailleurs me mettre à lui sourire quand mes yeux re-tombèrent sur le couple que j'aimais le moins sur cette petite Terre , et voilà que je n'avais donc pas réussi à lui sourire en guise de réponse .
Elle du s'en apercevoir, ou alors comprendre, car cette fille sais tout, elle me connait tellement que je ne pourrais jamais rien lui caché . Elle c'était mise à me chatouiller , là je ne pouvais pas me retenir de rire et je commençais à me débattais, d'un sens je haïssais les guilli, je n'arrivais jamais à garder mon calme et finissais toujours à bouger dans tout les sens tel un serpent qui s'agitait . Juliet , elle rigolait, fière de sa bêtise.

Alors qu'elle tenta de se relever elle tomba à cause du tapis tout mou sur lequel nous étions, là tout se passa très vite sans que je ne comprenne grand chose, elle était là , son visage a quelques centimètre du miens, nos visages n'avaient jamais été aussi proche si ce n'est lorsque l'on se faisait la bise, elle caressa mon visage et mon cœur se remit à battre comme peu de temps auparavant, je ne comprenais pas ce qui m'arrivais, elle se retira ensuite d'un bon et j'en eu presque de la peine , comme si j'aurais aimé qu'elle reste, comme si un baiser aurais pu être possible .

Ne voulant pas lui montrer ce trouble que j'avais je m'étira pour attrapé sa jambe pour qu'elle se retrouve à son tour au sol , et là je pouvais enfin avoir ma vengeance :

>>Tu ne pensais pas t'en tiré aussi rapidement Mlle Cooperstein ?

Je continuais alors à faire ce qu'elle m'avais fait subir, certes la vengeance est un plat qui se mange froid, mais moi je le préfère bien chaud, c'est toujours plus drôle

Lorsque je m'étais mise à parler du tournage, je n'avais pu m'empêcher de parler d'un débit très rapide. J'avais tellement de choses à raconter là dessus, parce que cela avait beau être un film qui ne passerais pas à grand audience dont le scénario était simple, je me fichais de cela car sa avait été ma plus belle expérience et cela restais un film. Je ne cherchais pas la renommée comme ma mère voulait que j’aie mais je cherchais à vivre un rêve de gamine. J'avais déjà été devant des caméras auparavant mais ce n'était pas la même chose, c'était les caméras de mes amis qui daignait bien prendre des vidéos des spectacles auxquels je participais. J'avais toujours eu un publique alors que là, votre seul publique était l'équipe et cette énorme caméra qui vous traquait. Un tournage n'était pas comme un spectacle, dans un spectacle, nous n'avions pas droit à l'erreur, si on oublie nos répliques on ne peut pas recommencer la scène comparé à un tournage. De plus, rien n'était tourné dans l'ordre, on pouvait très bien jouer le dénouement de la fin avant de jouer le début. C'était une expérience si différente mais si enrichissante. J'aurais pu parler de cela pendant des heures mais je ne voulais pas embêter Sebastian avec cela. Néanmoins, je ne pouvais m'empêcher de sourire comme une enfant un matin de Noël devant tous ces paquets cadeaux sous le sapin. Enfin bref, Sebastian m'avait demandé si j'étais inquiète à propos du cyclone. Je haussais les épaules, disons que sa m'avait inquiété au départ et à voir tout le monde pleurer n'arrangeait pas les choses mais depuis qu'on était là, tout les deux, je me sentais rassurée, comme lorsqu'on était petit et que j'avais peur du noir, avec Paige, ils avaient été là pour m'aider à vaincre cette peur et ce n'était qu'en sentant Sebastian serrer ma main que je n'avais plus peur. C'est alors que je le vis regarder à nouveau vers Noah et Paige et il paru incapable de sourire, cherchant un moyen pour le faire rire. Je trouvais son point faible, un sourire sournois sur les lèvres, je commençais à lui faire des chatouilles, en une fraction de seconde il s'était retrouvée à se tortiller dans tout les sens pour m'échapper. Je riais aux éclats, fière de ma bêtise. Mais alors tout vint se corser, comme je perdais l'équilibre, j’essayais de me relever, en vain, le tapis était tellement mou que je me cassais aussitôt la figure et tombait sur Sebastian. Mon cœur s'était alors mis à battre la chamade, nous nous regardâmes, un peu perdu et je caressais tendrement son visage. D'un bond, je me relevais, consciente de ce que je faisais et que nos visages étaient aussi proche. Mais alors je sentis une main me tirer la jambe ce qui eu le don de m'allonger et alors, il vint me bloquer.

Eh bien si, justement, je comptais m'en sortir vivante.

Alors il me fit subir le même châtiment. Je me tortillais dans tout les sens, essayant d'enlever ses mains mais il était trop fort, je riais aux éclats, ayant mal aux joues tellement je riais. C'est alors qu'il s'arrêtait et je me rendais compte de la position que nous avions prise dans notre bataille. Ses mains étaient posés sur mes hanches, soulevant mon pull alors que moi, j'avais les jambes autour de lui et les mains sur son T-shirt, allongée sous lui, nos visages se touchant prêt. Alors là, j'entendais une voix qui n'était pas celle de Sebastian s'élever à côté de nous. Et alors, je m'empourprais, retirais ses mains et me relevait, tombant nez à nez avec Noah et Paige.

Ne travaillant pas ce lundi, je profitais de ma journée pour rester avec Noah. On traina longtemps dans le lit le matin, ce qui n’était pas plus mal vu que tous les matins on se lever de bonne heure. Mais maintenant ca allée changer, et surtout pour lui vu qu’il avait démissionné de son travail. Comme on ne se voyait plus justement à cause de celui-ci, Noah finit par le quitter vu qu’il était la cause de nos nombreuses disputes ces derniers temps. Enfin bref, on passa la journée tranquillement à la maison jusqu’à ce qu’on entende le signal d’alerte du cyclone. On prépara quelques affaires, puis se mit en route vers le gymnase ou déjà pas mal de monde y était. Une fois arrivé là-bas, j’essayais de voir si je repérais des gens que l’on connaissait et notamment savoir si Juliet et Sebastian étaient au courant de ce qu’il ce passé. Voyant que j’étais assez préoccupé, Noah me demanda ce qu’il n’allait pas, et je lui répondis simplement que je serais plus rassuré si je voyais les deux autres personnes qui comptaient beaucoup à mes yeux.

Mais bon, mon fiancé finit par m’entrainer avec lui sur un banc ou l’on s’assit. J’étais vraiment heureuse de l’avoir retrouvé, parce qu’il faut l’avouer, je n’en pouvais vraiment plus de cette situation. Je glissais mes doigts entre les siens et lui souriait, avant de ne l’embrasser tendrement. Cela faisait maintenant une semaine qu’il m’avait demandé de l’épouser et que j’avais acceptée malgré notre froid. D’ailleurs en y pensant, ma famille n’était même pas au courant. Vous vous en rendez compte ? A vrai dire je ne leur ai pas parlé depuis deux ans maintenant, et même si parfois ma famille me manquée, je ne voulais pas la voir après ce qu’elle m’avait fait. Je crois que je ne pourrais jamais pardonner à mon père d’avoir voulu me séparé de Noah après mon accident. Je n’ai jamais su comprendre comment il pouvait être ainsi, et jugé les gens suivant leurs milieux de vies. Mais bref, j’arrête d’en parler, et revenons à nos moutons. Après avoir échangé un baiser avec l’homme que j’aime, je me décalais légèrement tout en lui disant :

_Je t’aime..

Avant de ne l’embrasser une nouvelle fois. Une fois le baiser rompu, je me replaçais et remarqua au loin Juliet et Sebastian. J’étais contente de les voir, mais je ne pu m’empêcher de faire de gros yeux en voyant la scène qui se produisait. Ils étaient vraiment proche l’un de l’autre, même trop je dirais. On pouvait les entendre d’ici rire aux éclats. C’est alors que je me levais d’une traite, sous le regard étonné de Noah et lui pris la main pour qu’il se lève à son tour.

_Tu viens il y a Juliet et Sebastian, on va allée leur dire bonjour.

Noah finit par se levé, et je cru entendre même un soupire de mécontentement, mais bon ca lui passera. On arriva enfin en face de mes deux amis, et je les regardais d’un air interrogateur.

_Salut vous deux ! Hum on vous dérange peut-être.. ?

C'était ce genre de Lundi matin que j'appréciais, rester là, à traîner avec Paige. Ces matinées m'avait manqué pendant des mois, notamment depuis que j'avais été embauché pour travailler comme photographe pour un magasine mondialement connu. A faire toute la journée des photos de mode mais le problème était que je devais souvent quitter l'état pour une à deux semaines et devait laisser, contre mon gré, Paige toute seule à la maison. Et nous n'arrêtions pas de nous disputer à cause de cela. Mais un jour, je m'étais rendu compte que nos disputes ne servaient à rien et surtout, que ce job ne m'intéressait pas plus que sa, me rendant compte que j'aimais bien prendre en photo des amis, mais pour le plaisir, je préférais d'avantage travailler pour des reportages. C'est pourquoi j'avais démissionné, retrouvant mon ancien emploi. De plus, j'avais demandé à Paige de devenir ma femme, parce qu'en rien je ne pourrais me passer d'elle. Depuis, tout était revenu à la normal entre nous. C'est alors qu'on nous appelait pour nous prévenir de l'alerte au cyclone, précisant que l'on devait tous se rendre à l'université. Alors, à la hâte, nous avions préparé quelque affaires et étions partit à l'endroit où nous étions attendu. Il y avait énormément de monde et je cherchais du regard des personnes que je connaissais. Je voyais bien que Paige était elle aussi préoccupée, sûrement à chercher Juliet et Sebastian. Je prenais alors sa main comme pour lui dire "ne t'en fais pas, ils sont par là en sécurité" mais je n'avais pas besoin de le dire car j'étais certain qu'elle comprenait. Je l'entraînais alors dans un coin pour s'assoir tranquillement en attendant d'avoir des nouvelles. Je plongeais mon regard dans le sien, un sourire au coin des lèvres, lui caressant tendrement la joue. J'étais heureux que tout soit redevenu comme avant entre nous, car il fallait avouer que toutes ces disputes ne rimaient à rien et je détestais me disputer avec elle. Il y a six ans de cela, je n'aurais jamais imaginé demander en mariage la fille qui m'avait mis un râteau devant tout le monde à Central Park et même m'ayant insulté et nous étions si différent, elle était d'un quartier huppé de New York alors que je n'étais que de Brooklyn et elle avait toujours été si différente de mes autres conquêtes, et cela, je l'avais vu dès la première fois où je lui ai parlé et qu'elle m'avait méchamment rembarré. Paige vint me tirer de mes rêveries en entrelaçant ses doigts dans les miens, je l'embrassais alors tendrement. Elle s'écartait alors en me disant les mots qui me faisaient toujours sourire.

Je t'aime aussi.

Mais c'est alors que son regard vint vers autre chose, à l'autre bout du gymnase, alors je vis Juliet et Sebastian se tortillé dans tout les sens sur un matelas de gym, riant aux éclats. J’arquais un sourcil, me demandant ce qu'ils faisaient. Alors Paige se levais d'un bond en me disant qu'on allait leur dire bonjour, je arquais un sourcil, ne voyait-elle pas qu'ils avaient l'air enfermé dans leur bulle et occupé ? Je soupirais en la suivant. J'appréciais beaucoup Juliet, c'était une fille tellement gentille et un vrai rayon de soleil et elle m'avait déjà avoué qu'elle était amoureuse de Sebastian, mais je me devais de ne rien dire. Mais disons que je n'aimais pas Sebastian, car de un, il tournait encore autour de Paige, ce que je n'appréciais pas vraiment, il attendait le premier de mes faux pas et qu'on se sépare pour partir à l'attaque et sa m'énervait vraiment, de plus, il était vraiment con de ne pas se rendre compte que Juliet l'attendait depuis des années. Sa avait le don de me mettre hors de moi, si seulement ce type pouvait un jour disparaitre, j'en serais le premier heureux. Néanmoins, je suivais ma fiancée sans broncher. Lorsque nous arrivâmes, ils se contemplaient, comme s'ils attendaient qu'il se passe quelque chose et disons qu'ils avaient une position des plus étranges, sans les connaître, en les voyant comme sa, on aurait pu croire qu'ils étaient tout les deux amoureux l'un de l'autre et cherchait un endroit tranquille pour batifoler. Alors, sur le ton de la rigolade, je leur lançais.

Hé il y a des enfants dans le gymnase, prenez donc une chambre.

Avais-je dis, lançant un clin d'œil complice à Juliet.

Une compagnie Presque parfaite

Malgré le cyclone qui régnait à l'extérieur, Juliet et moi rions aux éclats, une chasse aux chatouilles avaient été lancer et nous nous en étions donner à cœur joie . On était mort de rire, aussi bien l'un que l'autre, moi j'en avais mal au ventre, et elle ne tenais plus debout, en faite elle n'arrivait même pas a se lever . Je ne voulais pas arrêter de la chatouiller pour me venger de tout ce qu'elles m'avais fait subir et puis je trouvais ça tellement marrant de la voir se tordre de rire comme cela .
Heureusement nous étions un peu caché, car si tout le monde nous verrais, ils nous prendrais tous pour des fous, ou alors des gamins, mais pas du tout, avec Juliet on aime juste s'amuser et parfois retomber en enfance . Halala l'enfance , c'était quand tout était plus simple, des fois j'aimerais retourné à l'époque où mon plus gros soucis étais de quel couleurs j'allais colorié mes coloriages puisque Juliet et Paige prenais tout les crayons de couleurs.

Alors que nôtre petite bataille nous avez mis dans une position légerement Ambigüe, je la regardais droit dans les yeux, c'était une fille tellement jolie que je ne comprenais pas comment elle faisait pour être encore célibataire. J'étais dans mes pensées, qui d'ailleurs étais brouiller depuis quelques temps , depuis que Juliet et moi étions seul dans ce coin de gymnase et que pour une raison que j'ignorais, mon coeur battais plus fort lorsque nous étions très proche l'un de l'autre. Mais je fut vite sortis de mes pensées par Juliet qui avait changer de position, ne comprenant pas tout à fait pourquoi au début, je me remis en place et vis Paige et Noah, en face de nous, c'est alors que la phrase prononcé par Paige me vint en mêmoire, j'avais du l'entendre sans y prendre attention, alors avec un grand sourire , je me leva pour faire la bise à la jolie jeune fille :

>> Paige ! Je suis content que tu aille bien ! Non tu ne dérage pas du tout

J'étais heureux de la voir , mais je me serais bien passé de la personne qui l'accompagnait, d'ailleurs je lui lança un regard noir, qui s'amplifia à sa réflexion. Je me reposa aux côtés de Juliet avant de lui répondre

>> Oh tai-toi un petit peu, c'est pas la peine de venir si tu commence avec une réflexion

Je savais pertinemment que le fait que je lui parle comme sa n'allais pas plaire à Paige, ainsi qu'a Juliet mais je ne pouvais m'en empêcher, c'est pas que je ne l'aime pas, c'est pire que sa , je le hais au plus profond de moi

Je n'en pouvais plus de rire. Sebastian l'avait eue, sa vengeance. Alors que je lui avais fait des chatouilles dans le simple but de le faire rire et dévier les yeux de Noah et Paige, voilà que mon petit jeu se retournait contre moi. Je me tortillais dans tout les sens pour lui échapper, hilare, essayer de lui enlever ses mains, mais il était bien plus fort que moi. C'est alors que nous nous étions arrêté, mon souffle était coupé, nous étions si proche l'un de l'autre que je sentais son souffle chaud et ne détachais pas mon regard du sien, me rendant néanmoins compte de la position "originale" que notre bataille avait fait. C'est alors que j'entendais une voix familière s'élever au dessus de nous. D'un bond, je le poussais gentiment pour qui se redresse et m'asseyait, tombant nez-à-nez avec Noah et une Paige nous regardant d'un air surpris. Elle nous demandait si elle dérangeait. Je ne répondais rien vu que Sebastian s'était levé pour faire la bise à Paige et dire d'un ton beaucoup trop enjoué qui m'exaspérait qu'elle ne dérangeait pas du tout. Je soupirais et levais les yeux au ciel, s'en était humiliant pour lui, la façon dont il se comportait avec elle, peut-être étais-ce de la jalousie, je n'en savais rien. Bien que je fusse contente de voir Paige, je n'en étais pas pour le moins frustrée d'avoir été retirée de cette bulle qui s'était formé entre Sebastian et moi. Néanmoins, je m'étais levée pour prendre Paige dans mes bras et lui faire un énorme bisous bruyant, lui demandant comment elle allait, puis je partais faire un énorme bisous à Noah. Je m'asseyais à nouveau, disons que je n'avais pas trop envie de rester debout et de voir Sebastian faire les yeux doux à Paige. J'aurais dut y être habituée depuis le temps, mais non, cela m'exaspérait. Certes, j'étais heureuse pour eux lorsqu'ils étaient ensemble, c'était toujours moi qui faisait le messager lorsqu'ils se disputaient, c'était aussi moi qui arrangeait les choses entre eux et ce depuis toute petite mais depuis que Paige avait rencontré Noah, certes j'étais heureuse pour elle mais la situation m'exaspérait, entre Noah et Sebastian qui cherchaient toujours la bagarre et Sebastian qui continuait de faire les yeux doux à Paige. Enfin bref, je restais là jusqu'à ce que Noah fit une petite remarque qui me fit pouffer mais Sebastian n'eut pas l'air d'apprécier et retorquais aussitôt. Je finis par lâcher.

Hé calme, c'était juste une blague, t'emporte pas comme sa

Malgré qu’il y avait ce cyclone, je me trouvais bien la ou j’étais. Il n’y avait que moi et Noah sur ce banc dans les gradins et ce n’était pas plus mal. Bon j’essayais de chercher au loin si je trouvais des amis, et après un petit moment je trouvais Juliet et Sebastian. Ils étaient également isolés comme ils le faisaient souvent d’ailleurs mais la façon dont ils étaient positionnés me déranger. Je ne sais pas pourquoi mais je trouvais ca bizarre. C’est pourquoi j’entrainais Noah avec moi vers ma meilleure amie et mon ex devenu ami aujourd’hui. Une fois arrivé vers eux, on les salua puis je ne pu m’empêcher de faire une petite réflexion de savoir si on les dérangeait ou non. Ils se relevèrent un peu gêné de la situation sans doute puis Sebastian me fit la bise suivit de ma meilleure amie. Noah ne pu s’empêcher de faire à son tour une petite réflexion qui d’ailleurs me fit légèrement rire. Mais Sebastian lui répondit à son tour ce que provoqua un léger froid entre nous quatre.

_Le prends pas comme ca, il disait juste ca pour plaisanter.

Dis-je après que Juliet lui ait rétorqué à peu près la même chose. C’était toujours la même chose de toute façon. A chaque fois que l’on se voyait tous ensemble, Sebastian et Noah partaient dans une guerre et aucun des deux ne lâchaient prise, et de notre côté avec Juliet on essayait de les faire arrêter, qu’ils se comportent bien l’un envers l’autre même si ca leur semblé inimaginable. Je ne comprenais vraiment pas pourquoi ils se chamaillaient encore et s’envoient des piques alors que ca faisait des années que tout s’était produit. Il était vraiment temps de passé à autre chose, mais apparemment ils ne le voulaient pas. Enfin bref, je restais auprès de Juliet étant toutes les deux entres les deux garçons pour ne pas changer.

_Il se passait quoi tout à l’heure ?

Je ris légèrement tout en arquant mes sourcils attendant qu’ils me répondent histoire de savoir qu’est ce qu’il s’était passé juste avant que je ne vois cette scène. Je sais qu’ils sont meilleurs amis et n’allez pas croire que je suis jalouse non. C’est juste que de les voir comme ca me fit..bizarre, une drôle de sensation. Je ne sais pas vraiment pourquoi d’ailleurs mais je ne sais pas, voir ma meilleure amie être comme ca avec mon ex petit-ami ne m’enchanté pas tellement sachant qu’elle me racontait tout, et que donc je devrais savoir s’il se passé quelque chose entre eux deux.

Alors que Paige et moi étions tranquillement assis dans le gymnase, au milieu de toute cette cohue effrayée, je me sentais bien, jusqu'à ce qu'elle se mit à regarder ailleurs et décider d'aller voir Juliet et Sebastian. Je me levais non sans soupirer, je n'avais rien contre Juliet, au contraire, c'était vraiment une personne extraordinaire. Mais disons que je ne portais pas vraiment dans mon coeur celui qui l'accompagnait. En arrivant vers eux, je n'avais pas remarquer tout de suite là position qu'ils avaient, c'est quand j'avais daigné levé les yeux que je ne pu m'empêcher de faire un rictus amusé. Je m'étais d'abord demandé si Sebastian s'était enfin rendu compte que Juliet était folle de lui, mais lorsque je vis son expression en voyant Paige, je compris que ce n'était pas le cas. Je fronçais alors les sourcils, restant un peu de côté ou j'allais encore devoir m'empêcher de le défigurer. Ne pouvait-il donc pas passer à autre chose ? Je soupirais et échangeais un regard complice avec Juliet. Nous devions sûrement penser la même chose. Je me posais toute sorte de question, Paige les avait-elle vu dans leur position ? Avait-elle fait exprès de venir les interrompre ? Était-elle encore jalouse ? Je ne comprenais rien du tout. C'est pourquoi je lançais sur le ton de la rigole qu'ils pourraient au moins prendre une chambre. Mais a ce que je compris, Sebastian n'avait pas le don du second degrés. Vu la froideur avec laquelle il m'avait répondu. C'est alors que je fronçais les sourcil, c'était quoi son problème au juste ? Il ne pouvait donc pas essayer de plaisanter et de faire des efforts comme je le faisais ? C'était un asociale ce mec ou quoi ? C'est alors que je ne pouvais plus me contenir et sortit :

" Oh sa va toi c'est une blague ! T'es aussi con pour tout prendre au premier degrés que de remarquer que Juliet est folle amoureuse de toi !"

Une compagnie presque parfaite

Bien qu'il y avait cette alerte au cyclone, ce dangereux phénomène qui se produisait très rarement, je m'amusais comme un petit fou , j'étais mort de rire aux côté de ma meilleure amie, nous avions lancé une chasse aux chatouille, enfin c'est elle qui l'avait démarrer mais pour le moment c'est moi qui pris le dessus, en même temps , je ne suis pas le meilleur pour rien . Enfin bref ce fut un moment totalement agréable qui me faisait oublier le monde extérieur .
Alors que Juliet et moi continuons nôtre bataille, elle essaya de se débattre et tomba, nous étions alors dans une position proche, enfin encore plus que sa même , jamais nous avons été aussi près l'un de l'autre et pour une raison que j'ignore encore mon cœur c'était mis à battre plus fort . Mais se sentiment s'arrêta vite lorsque j'entendis une voix familière derrière moi , une voix que je connaissait très bien . C'était Paige, je m'était alors vite levée pour lui faire la bise et lui répondre qu'elle ne dérangeait pas du tout . Et voilà Cette jolie brune avait percé la bulle dans laquelle ma meilleure amie et moi nous nous étions enfermé .

J'appréciais particulièrement la compagnie de Paige et comme tout le monde le sait, c'est parce-qu'il me reste des sentiments pour elle qui ne sont pas près de s'envoler, nous formions un couple tellement heureux depuis tout petit mais voilà que ce cher Noah est venu tout gâcher , et c'est la compagnie de celui-ci que je ne supporte pas , il avait le don de m'énerver . Sans même qu'il prononce un mot , l'envie de le frapper et le mettre à Terre me venait à l'esprit, alors imaginer lorsqu'il m'adresse la parole ou alors qu'il embrasse Paige, là je suis complètement hors de moi , et le pire c'est que comme je m'en doutais a peine venait-il d'arriver qu'il commença avec ses réflexions, là c'était sur la position que Juliet et moi avions alors je m'énerva rapidement lui faisant la remarque que si il était uniquement venu pour dire sa se n'étais pas la peine, et comme je m'en doutait sa ne plu ni à Paige ni à Juliet qui me fit toute les deux remarqué qu'il disait sa pour plaisanté et que je ne devais pas le prendre comme sa, et voilà c'était toujours pareille , c'est lui qui cherchait la bagarre et c'est moi qui prenait .

Après que les deux plus belles Brunes m'ait fait leurs réflexions ce fut au tour de Noah d'en rajouté une couche en me disant que j'étais aussi con pour prendre ses réflexions au premiers degrés que m'apercevoir que Juliet était folle de moi . Là tout se brouilla dans ma tête je ne savais plus quoi pensé , au départ l'idée que ma meilleure amie soit amoureuse de moi me paraissait inimaginable mais plus j'y pensais et en fait plus sa me paraissais de plus en plus possible .
Je lança un regard faible à Juliet, un regard perdu, je ne connaissait pas la vérité, si ce que Noah disait était vrai ou alors il disait juste sa pour me mettre encore plus la rage .
Je continuais à regarder ma meilleure amie , qui parlais a sa grande copine de toujours, mon regard était encore vide , mais je la fixais comme si sa allait me donner la réponse mais rien alors je regarda Noah et lui lança un

Arrête de dire des conneries Ok ? Si Juliet serais folle de moi je crois que je serais le premier au courant et toi le dernier alors occupe toi de toi et prend soin de Paige ! Enfin si sa t'en es capable !

Je le regarda plein de dégout , mes yeux fit le tour entre mes deux meilleures amies, et lui puis je me tourna et marcha jusqu'à me posa dans un coin, je repensa à tous les moments passer avec Juliet, et si ce que ce petit ... Enfin et si ce qu'il disait était vrai ? Et si Juliet m'aimais Vraiment ? Non c'était impossible, je serais au courant, elle et moi on se dit tout . Mais alors pourquoi ais-je l'impression qu'il ne ment pas totalement ?