Après le bal, enfin plutôt pendant le bal, je rentrais à la maison. Je n’avais plus du tout le cœur à la fête après ce qu’il venait de ce passé. Je me sentais mal et lassé de tout ca. Je devais passer la soirée avec Gavin et en fin de compte, il me lâcha au beau milieu de la piste de danse préférant être avec quelqu’un d’autre que moi. D’un côté je le comprenais avec tout ce que je lui avais fait mais bon, me dire qu’il voulait rester avec moi toute la soirée pour partir deux minutes après, m’avais mise hors de moi et me faisais ressortir mon côté vulnérable. Enfin bref, je partis directement après mettre excuser auprès de Nolan. En rentrant, il n’y avait personne dans le loft étant donné que Lux et Molly sont au bal. Je pouvais donc être tranquille pendant un moment. J’allais donc dans ma chambre et me changea, enfilant un jean accompagné d’un tee-shirt et d’une veste, remplaçant mon costume de Cléopâtre. J’en sortis quelques instants après, commençant à ruminé dans chaque coin de la pièce ne sachant pas quoi faire.

J’allais dans la cuisine après mettre allumé la télévision et sortie du réfrigérateur un pot de glace qu’on avait exprès avec les filles pour nos « coups de déprimes ». En ce moment il était bien utilisé surtout par Molly et moi. Enfin bref, je l’ouvris et commença donc à en manger tout en regardant l’écran de la télé. Le pire c’est que c’était nul mais je n’en avais rien à faire. J’enchainais les cuillères, mais finit par me faire une raison, me disant que m’empiffrer dans mon coin n’était pas la solution. Je repensais alors à une chose, mes lettres. Ca peut paraitre ridicule, mais chaque jour depuis notre séparation je lui écrivais une lettre. A chaque fois, je comptais les lui envoyait mais je n’en eu jamais le courage. Elles restaient toutes dans un coin à l’abri des regards indiscrets. Après un coup de tête, et en ayant marre de lui caché tout ca, tout ce qui se trouvé au fond de moi, je pris ma boite contenant mes 28 lettres à ce jour et sortie du loft.

Quelques gouttes tombés mais tant pis. Je pris ma voiture et conduit jusqu’au quartier ouest ou j’avais appris qu’il habité à présent. Après une demi-heure de route, j’arrivais enfin au lieu dit. Gavin vivait à présent dans une autre maison. Je restais dans ma voiture, me demandant encore si je devais y allée ou non. Il se faisait tard et puis bon, maintenant que j’y étais j’hésité. Après dix minutes, je finis par sortir de la voiture. Tout était fermé, alors je comptais peut-être juste poser la boite sous son porche. Mais j’en vins à sonné à sa porte. J’allais faire demi-tour mais une lumière apparut. Gavin finit par ouvrir la porte.

_Je sais qu’il est tard et que tu dois te demandé ce que je fais là, mais il fallait que je te vois.. « Je soufflais légèrement essayant de contenir mes larmes, et finis par lui tendre la boite. » Il y 28 lettres là-dedans, et elles sont toutes pour toi..Depuis notre rupture je t’en ai écrite une par jour et dedans il y a tout ce que je me suis retenue de te dire, et jamais osé t’envoyer de peur de souffrir une nouvelle fois.. J’avais pas le courage d’affronter les sentiments que j’ai pour toi. Je sais que ca n’a plus d’importance à présent, mais je voulais que tu le saches.. Voilà à quoi j’ai passé toutes mes vacances : à penser à toi.

J’avais les larmes aux yeux, et après lui avoir donné la boite, je commençais à me diriger vers ma voiture.

Dernière édition par Cléo A. Wayne le Dim 5 Sep - 1:17, édité 1 fois

Après être parti du bal, Gavin n'avait envie que d'une seule chose, c'était de rentrer chez lui et c'est ce qu'il fit, il rentra dans la maison qu'il louait étant donné qu'il avait vendu la maison de lui et Cléo, il ce rendit dans sa chambre ou il enleva son affreux déguisement de zorro qu'il avait sur le dos, il alla ensuite prendre une douche et finit par enfiler un jean pour être plus alaise et un simple tee-shirt blanc, il passa une serviette dans ses cheveux pour les essuyer étant mouillé puis descendit dans le salon ou il s'installa avec une bière devant la télé. Installé sur le canapé, il zappait les chaines et tomba sur un match de football qu'il décida de regarder pour oublier cette affreuse soirée qui venait de passer. Une bonne demi heure passa et le match venait de ce terminer, Gavin éteignit la télé et ce rendit dans la cuisine afin d'y mettre le cadavre de sa bouteille de bière, il s'assit sur un tabouret de la cuisine posant ses bras sur le bar poussant un soufflement en regardant autour de lui ne sachant que faire et ne faisant que penser à Cléo.

Soudain il entendit le sonnette retentir, il fut étonner d'entendre celle-ci à cette heure, il devait être plus de minuit et n'attendait personne. Il ce rendit donc jusqu'à sa porte d'entré, alluma la lumière de dehors et eu la surprise de voir Cléo devant sa porte, il n'eut le temps de prononcer un seul mot, la demoiselle prit la parole en s'excusant de venir si tard chez lui mais qu'il fallait absolument qu'elle le voit, Gavin la regarda un peu paniquer ne comprenant pas ce qu'elle faisait là, il la regardait, celle-ci avait les larmes aux yeux et tenait une boite entre ses mains, elle la tendit à Gavin qui la prit sans vraiment poser de question, il la regarda intrigué et l'écouta lui dire que la boite contenait 28 lettres toute écrite pour lui par elle-même, elle lui expliqua que depuis leur rupture elle n'avait cessé de lui écrire mais n'avait jamais osé lui envoyer de peur de souffrir encore plus, elle ajouta pour terminé qu'elle avait passé ses vacances à penser à lui et finit par lui tourner le dos sans qu'il ne puisse lui dire quoi que ce soit et elle ce dirigea vers sa voiture, aussitôt Gavin cria:

« Cléo attends ! »

Il sortit de sa maison, la boite en main, et ce dirigea vers Cléo, celle-ci ce retourna pour le regarder tout en ayant les larmes aux yeux, Gavin déposa la boite à terre entre elle et lui et la prit dans ses bras tout en lui disant d'une voix douce :

« Je suis vraiment désolé pour ce soir, je n'ai pas voulus te laisser en plan je me suis sentit mal à l'aise, perdu et je ne savais pas vraiment ce qu'on faisaient tout les deux après tout ce qui c'était passé mais ... Je t'aime Cléo et je t'ai toujours aimé tu le sais, je veux passer ma vie avec toi, je veux qu'on ce mari qu'on ai des enfants et qu'on vieillissent ensembles. Je ne supporterais pas de te perdre une seconde fois ... »

Il caressa les cheveux de la jeune fille tout en lui disant cela, puis la regarda dans les yeux, celle-ci fit couler quelques larmes sur ses joues que Gavin essuya du bout des doigts avant de déposer ses lèvres sur les siennes et de lui donner un doux baiser, il la regarda caressa sa joue délicatement et afficha un légé sourire avant de lui dire :

« Tout ce qui c'est produit dans notre couple n'était que des quiproquos, on peut ... tout recommencer à zéro, ne plus ce mentir, tout s'avouer et remettre tout ce qui n'allait pas en ordre pour que l'on redevienne le couple qu'on aimaient tant tout les deux, le couple qui ce faisait confiance et qui s'aimaient plus que tout au monde, le couple qui faisait des envieux, celui qui passait ses soirées à rigoler et à regarder des films dans les bras l'un de l'autres, je veux retrouver tout sa Cléo ... Je veux te retrouver. »

Il regarda la demoiselle sans un mot, attendant une réaction de sa part. Ses lettres prouvait bien à Gavin que tout ce qui c'était passer dans leur couple n'était que des incompréhension dût à tout ce qu'ils leur était arrivé ses derniers temps, il voulait revivre cet histoire d'amour qu'il n'avait jamais connut auparavant, il voulait revivre à ses coté et lui dire tout les jours qu'elle était la femme de sa vie et qu'il voulait passer sa vie avec elle. Il l'aimait plus que tout au monde et ne voulait plus la perdre, c'était finit ...

Dernière édition par Gavin E. Jefferson le Dim 5 Sep - 17:50, édité 1 fois

Me voilà à présent chez lui et après avoir hésité un long moment à sonner à sa porte, je le fis. Avant qu’il ne prenne la parole, surement étonné de me voir là à cette heure de la nuit, je lui donnais mes lettres tout en lui expliquant pourquoi j’avais fait ca depuis notre séparation. Je n’osais pas allée vers lui et lui dire de vive vois tout ce que j’avais sur le cœur. Je ne me sentais pas du tout en confiance, de peur de me faire briser le cœur encore une fois après tout ce qu’il c’était passé. Après ca, je commençais donc à faire demi-tour, allant vers ma voiture avec les larmes qui coulaient à présent sur mes joues. Mais Gavin m’interpela, ce qui me fit me retourner vers lui. Gavin me prit alors dans ses bas, lorsqu’il arriva à ma hauteur et je le laissais faire, m’y blottissant. Il se mit alors à s’excuser pour ce qu’il s’était passé ce soir. D’un côté je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir après tout ce que j’avais fait, mais le fait qu’il m’abandonne comme il l’a fait sur la piste m’avait blessé.

« Je t'aime Cléo et je t'ai toujours aimé tu le sais, je veux passer ma vie avec toi, je veux qu'on ce mari qu'on ai des enfants et qu'on vieillissent ensembles. Je ne supporterais pas de te perdre une seconde fois ... »

_C’est rien ne t’en fais pas.. Je t’aime Gavin. Si tu savais comme ca m’avait manqué de ne pas pouvoir te le dire.. Je ne veux pas que tu en doutes ou je ne sais quoi d’autre, parce que je ne supporterais pas non plus de te perdre une nouvelle fois..

Ce qu’il m’avait dit m’avait touché. Si bien que cela me fis déverser des larmes de plus belle. Je le regardais dans les yeux, pendant qu’il tenté d’essuyer quelques gouttes sur mes joues et après un bref instant il finit par déposer ses lèvres contre les miennes. Je fermais alors mes paupières et répondit avec tendresse à son doux baiser. Gavin finit par rompre le baiser et reprit la parole tout en affichant un sourire. Il proposer de tout recommencer à zéro, ce qui ne me semblait pas du tout être une mauvaise idée. C’est vrai que ca me manquer tout ca. Nos soirées en tête à tête, nos discutions, nos rigolades.. Ces derniers temps à part se disputé je ne voyais pas du tout ce qu’on avait bien pu faire d’autre. Et pour être franche j’en avais marre.

_Moi aussi, et tu sais que je ne demande que ca.. Je veux qu’on se retrouve, qu’on prenne du temps pour nous comme avant et qu’on arrête enfin de se disputer à tout bout de chant et pour un rien.. qu’on puisse enfin avancer..

Je le cherchais du regard, sachant qu’il pensait sans doute la même chose que moi. Je crois qu’on en a assez enduré comme ca pour se permettre de tout reprendre et allée dans la bonne direction. Je lui souris légèrement et après mettre de nouveau rapproché de lui, je l’embrassais une nouvelle fois plus langoureusement, tout en posant l’une de mes mains sur sa joue. Je profitais de ce moment là avec lui tout en me resserrant un peu plus contre lui, ne voulant plus le lâcher de peur qu’il fasse comme sur la piste de danse.

_Je t’aime..

Lui dis-je entre deux baisers. Je finis par rouvrir les yeux tout en posant une nouvelle fois mon regard sur lui.

Gavin avait les yeux fixé sur Cléo l'écoutant parler, lui dire qu'elle l'aimait et que lui dire lui avait énormément manqué et qu'elle ne voulait plus jamais qu'il doute de ses sentiments car pour elle aussi il lui serait insupportable de la perdre une seconde fois, la demoiselle fit couler quelques larmes sur ses joues que Gavin s'empressa d'effacer des ses doigts, tout en l'embrassant délicatement, il lui dit qu'il voulait tout reprendre à zéro, que c'était possible si chacun faisaient des efforts et qu'ils ne ce cachaient plus rien, a ses mots Cléo lui répondit qu'elle ne demandait que sa et qu'elle voulait qu'ils ce retrouvent et que tout redevienne comme avant pour qu'ils puissent avancer ensembles, Gavin afficha un sourire et Cléo ce rapprocha de lui pour lui donner un baiser, Gavin prit le visage de la demoiselle entre ses mains ne voulant plus la lâcher, ne voulant plus la laisser, ne voulant plus jamais être loin d'elle. Entre deux baisers Cléo lui dit : " Je t'aime " Gavin déposa un baiser sur son frond avant de finir par la serrer tellement fort dans ses bras qu'il aurait pu la casser et répliqua :

« Moi aussi Cléo, je t'aime plus que tout au monde. Tu m'as tellement manqué, je t'aime, je t'aime je t'aime »

Lui dit-il plusieurs fois tout en l'embrassant entre chaque mots, Cléo afficha un sourire tellement beau, un sourire qui donna des frissons à Gavin, il n'avait pas vu ce sourire depuis une éternité et cela le rendait plus qu'heureux, cette fois c'était certains, ils c'étaient retrouvés et n'étaient pas prêt de ce lâcher. Toujours dehors dans les bras l'un de l'autres, il ce mit tout à coup à pleuvoir des trompes d'eau, Gavin et Cléo ce retrouvèrent vite trempé de la tête aux pieds mais restèrent dehors ne voulant pas risquer de tout gacher, seulement au bout de plusieurs minutes Gavin lui fit tout en rigolant :

« On devraient peut-être rentrer sinon on risque d'être malade à crever demain. Viens ... »

Lui dit-il en s'étant écarté d'elle et en lui tendant la main afin que la jeune fille la prenne pour rentrer à l'intérieur. Une fois rentré, Cléo ce dirigea vers le salon tout en regardant autour d'elle, découvrant la nouvelle habitation de Gavin, pendant ce temps celui-ci était monté à l'étage pour prendre des serviettes, il mit à peine quelques minutes pour les trouver et redescendit un serviette sur ses épaules. Il ce rapprocha de Cléo et l'emmitoufla dans une serviette afin de la sécher, il tenta de la réchauffer en frottant ses épaules puis la regarda grinçant des dents et lui fit :

« Allons à Paris ! »

La jeune fille qui frottait ses épaules pour ce réchauffer ce stoppa net aux paroles du jeune homme, elle afficha un regard bouche-bée et ne répondit rien à cette proposition qui n'avait pas vraiment l'air d'en être réellement une, Gavin finit par afficher un sourire gêné, et lui fit :

« Excuses moi je voulais pas te sortir sa comme sa mais, je veux faire ma vie avec toi, je veux tout recommencer et je sais que tu adores Paris, on pourraient partir vivre là-bas pendant un moment voir si on s'y plaît pour repartir du bon pied ... C'est, rapide je sais »

Dit-il avant de faire une légère grimace, ne sachant pas ce qu'elle allait penser de cette idée qui venait de lui traverser l'esprit et qui était sortit sans qu'il ne l'ai vraiment prévu.

« Moi aussi Cléo, je t'aime plus que tout au monde. Tu m'as tellement manqué, je t'aime, je t'aime je t'aime »

Il me répétait qu’il m’aimait tout en continuant à m’embrasser ce qui ne faisait que me faire sourire de plus belle. Malgré qu’il fasse froid et que la pluie commence à nous tombé dessus, je n’en avais rien à faire, je voulais reste contre lui dans ses bras. Je pouvais bien me chopé une pneumonie, peu importe. Je préférais largement rester tout contre lui. Mais bon, la pluie commencé à se fortifier et on se retrouva vite complètement mouillé. Gavin finit par proposer qu’on rentre plutôt à l’intérieur. J’hochais la tête tout en lui répondant :

_ D’accord je te suis..

Je lui souris puis pris sa main afin de le suivre jusqu’à l’intérieur de la maison. On y entra et je fermais la porte derrière nous tout en contemplant la maison. Je l’avais seulement vu de l’extérieur jusqu’ici et n’y avais jamais mis les pieds. Ca me faisait bizarre de me dire qu’il puisse habiter autre part que dans notre ancienne maison ou encore dans sa chambre universitaire. Mais bon, je ne sais pas ce que l’avenir nous dira, mais il est encore fort possible qu’on habite de nouveau ensemble dans notre ancienne maison. Gavin me fit me sortir de mes pensées en me réchauffant contre lui avec une serviette pour me sécher de toute cette eau. Je le laissais faire puis releva soudainement la tête lorsqu’il me dit qu’on aille à Paris. La pluie lui avait fait perdre la tête ou quoi ? Je n’en revenais pas qu’il me dise ca comme ca, l’air de rien.

_Qu..Quoi ?

Le pire c’est qu’il avait l’air sérieux en me disant ca. Je continuais à le regarder stupéfaite puis il reprit la parole.

« Excuses moi je voulais pas te sortir sa comme sa mais, je veux faire ma vie avec toi, je veux tout recommencer et je sais que tu adores Paris, on pourraient partir vivre là-bas pendant un moment voir si on s'y plaît pour repartir du bon pied ... C'est, rapide je sais »

_Oui c’est rapide, je ne m’attendais pas à ce que tu me propose d’allée à Paris.. Mais je veux qu’on y aille. Repartir de bon pied là bas, comme tu dis et refaire notre vie. Et puis si on ne s’y plait pas, on pourra toujours rentré..

Je m’approchais de lui tout en lui souriant avant de l’embrassé tendrement. C’était rapide comme il le disait, mais après avoir passé tout ce temps à se disputé, il fallait bien qu’on le rattrape et quitte à changer de pays pour, j’acceptais.