Allonger dans mon bain, avec les écouteur de mon iPod dans les oreilles, je ne voyais pas le temps passer. Il devait être dans les environs de 10h, et j’allais surement me faire disputer si j’y reste une heure de plus, sachant qu’il est maintenant 11h, et que beaucoup des personnes de la fraternité, voudront que je libère cette salle de bain, pour pouvoir faire ce qu’ils y ont à faire. C’est pourquoi j’ouvris les yeux pour vérifier l’heure, et pour s’assurer que je ne suis pas rester trop longtemps. Je pris une serviette et m’essuya les mains, pour pouvoir enlever mes écouteurs, et poser mon iPod ailleurs, avant d’enrouler la serviette autour de moi, pour filer dans ma chambre. Je n’ai rien à craindre, tout est dans ma chambre en ce qui concerne, maquillage, vêtements, produits, sèche cheveux, lisseur, et brosses à cheveux, donc tout va bien. Je ferme la porte de ma chambre derrière moi, et observe le lit à l’autre bout de la grande chambre dont je dispose, et ne voit toujours rien sur le bureau, et dans les armoires. Ce qui veut dire que je n’ai toujours pas de colocataires de chambres ! Bon ben d’un coté ça m’arrange bien, comme ça je me dis qu’il n’y a pas de problème en ce qui concerne mes affaires. Je souris à mes pensées, des pensées très égoïstes, puis m’habille , et passe devant ma glace pour me maquiller avant de sortir du cocon fraternitaire.

C’est avec le grand sourire que je claque la porte d’entrée, croisant le regard de deux beaux garçons plus loin , en essayant d’interpelé une jeune femme sortir de la villa, mais pas de chance, aucune ne sort, excepter moi, seulement, ils savent tous que je ne me laisse pas faire, et savent que je suis celle en qui aucun garçon n’a le droit d’approcher, sans donner de rendez-vous ! Bon ça à l’air bidon, mais après ce que j’ai endurer, j’ai été obliger d’en parler à toute les filles, ce qui fait qu’elles me considère comme la petite protégée de la villa. Du coup, je ne suis pas comme toute les autres à ne pas savoir comment faire, et qui choisir entre Paul et Jacques ! Je préfère laisser le temps faire les choses, parce que je sors d’une relation avec Nolan, qui c’est plutôt bien finit, dans le sens où nous nous sommes tout les deux rendu compte que rien allait entre nous, et que ce n’était pas de l’amour, mais de l’attirance. Du coup, je vais essayer de trouver ma perle rare, mais en espérant , trouver la bonne personne, maintenant que mes yeux brillent de milles feu, et que mon cœur bat comme autre fois, comme quand je savais encore aimer, parce que je me sens de nouveau prête à aimer.

Je me dirige vers le cocktail Passionata, et m’installe à une table toute seule, juste pour le plaisir. J’avais envie de sentir tout ses cocktails, de les siroter, et d’apprécier. Chose que je n’avais encore jamais eut le temps de faire. Cependant, un jeune homme vint se mettre en face de moi, ce que je n’avais pas remarquer c’est qu’il venait vers moi, seulement ressentant comme un effet d’ombre, je ne pus que relever la tête pour voir qui était présent. Et à ma grande surprise, c’était Tom. Je l’avais plus revue depuis quelques années déjà, et le revoir me faisait énormément plaisir, j’en étais même bouche-bée, de voir à quel point il s’ést embellit, déjà qu’il était beau garçon avant ! Là il est carrément canon. J’en restais muette. Je le regarda, et le dévisagea, le sourire aux lèvres, avant de me serrer dans ses bras, quand il m’y prit. Puis, je le regarda avec le sourire, quand il s’installa à coté de moi.

Je suis vraiment contente de te voir, ça fait tellement longtemps … Oui je suis seule, oui je vais bien. Et encore mieux maintenant. C’est une grande surprise que j’ai là, vraiment j’y crois pas. T’es sur que c’est bien toi, Tom Nathan Jaylan ? Sur sur ? Dis-je en riant, avant de siroter mon cocktail.

Après qu'il se soit poser à coté de moi, je n'en revenais pas, de le voir, de le serrer dans mes bras. Je me demandais vraiment ce qu'il faisait, ici, à Hollywood. Cela va faire .. Cinq longues années que je ne n'ai plus vue. En fait un peu avant mon kidnapping. Et le voir, m'éblouissait de joie. Je ne savais trop quoi dire, ou plutôt par où commencer ? Il y avait de longues années de passer, et beaucoup de chose ont marquer nos vies, ce qui fait que ce voir, ne pourra qu'être une partie de plaisir. Des souvenirs reviendront sur le tapis, et des marques, seront en confidences. C'est même sur, parce que nous avons toujours eut cette complicité qui fait qu'on s'entend bien en présence de l'un et de l'autre. Je ris légèrement à sa réponse après que je le lui ai demander si c'était vraiment lui. Oui, parce que c'était tellement étrange de le revoir, que j'en avais l'impression de rêver. Il m'affirma donc, que c'était lui et " en cher et en os" il m'en montra même ses dents. Auquel je ris doucement, avant de continuer à siroter mon délicieux cocktail. Je leva le regard prête à lui parler, avant que nous ne soyons interrompu par des bimbo plus loin, qu'ils connaissaient. Je les regarda les unes après les autres, puis il me dit d'attendre, je le regarda se lever, puis regarda ailleurs. Je ne savais pas s'il allait revenir, et me dire qu'il faut qu'il parte pour aller faire, ce qu'il a à faire avec ses demoiselles, ou s'il allait rester avec moi. J'aprehendais son retour, qui ne fut pas très long. Un claquement provenait de là où il était, un claquement au contact d'une main et d'une joue. Auquel je me retourna très rapidement, avant de me mettre a rire. Il revint donc vers moi, et s'installa à coté. Je le dévisagea du regard, puis lui souris doucement. Assez amuser, de ce qu'il venait de de passer. 

C'est adorable de rester avec moi. Et c'est sur qu'après tout se temps, tu me dois bien ça. Dis-je en souriant. Alors, tu as quoi à me raconter, à part que tu es attaquer par toute une tripotter de jolies nana, toutes plus belles les unes que les autres, trainant à tes pieds jusqu'à ce que tu ne les emmenes dans ta chambre ?!! ..

Je ris doucement, mais mon petit rire, s'achève très rapidement. Quand je réalisa enfin, que ce n'était vraiment pas un rêve. Car comme une imbécile j'ai poser ma main sur la sienne, pour la caresser doucement, puis pour la pincer ! Mais qu'elle conne.. C'est vrai qu'on voit souvent ça dans les films, et bien c'est très pratique ! Puis, je fais souvent des rêves, où j'ai réellement l'impression d'y être. Enfin, la plupart sont plutôt des cauchemars, mais bon. Je ferme les yeux en me mordant les lèvres et en lui tapottant la main doucement Désolée .. dis-je avant de réouvrir les yeux. Je croise son regard , et le voit sourire, ce qui fait que je me met à rire, rire de la stupidité ! Car c'est sur, je viens de passer pour une abrutit de première. Mais bon, il me pardonnera, et ne me prendra pas pour une dégénérer enfin.. Je l'espère. 

Je ne suis pas barge.. Ou quoi que ce soit hein. C'est que j'ai tellement l'habitude de faire des rêves qui me paraissent réels, que je croyais y être à ce moment présent. Enfin, bon. Je suis sur que tu comprends, et que tu ne m'en veux pas.

Je regarda tout le passionata, en regardant d'un coin à l'autre, en dévisageant l'environnement, les gens qui y sont. Les couples qui se font de l'oeil; les copains qui se marrent tous ensemble, les collègues qui parlent boulots. C'est vraiment un endroit comme j'aime. Je n'ai jamais eut le temps de retourner dans un endroit tel que celui-ci. Et je me rappel qu'avec mon père nous allions dans un restaurant chinois, dans Chinatown, à New York. Et l'ambiance y était identique. Les gens présent sont là pour se détendre, et discuter en simple tranquilité, car tout le monde parle tout bas, pour laisser se plaisir, de siroter de merveilleux cocktail, en discutant en paix, dans la joie et la bonne humeur. En regardant toute ses personnes, je me dis que maintenant que j'ai revue Tom ici, alors que j'y mettais les pieds pour la première fois de ma vie, cette endroit sera un symbole. Celui des retrouvailles. Je souris à mes pensées, et passa une main dans mes cheveux, avant de finir mon verre et de le pousser doucement. 

Pourquoi est-ce que t'es venue ici, à Hollywood ? Ça fait tellement bizarre.. Plaisir, hein. Mais bizarre. Dis-je en souriant.